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Magistrats

Quelques mots sur les magistrats lors de procédures de divorce


Je voudrais vous alerter sur les méthodes frauduleuses et dolosives lors de procédures de divorce, avec bien souvent une justice solidaire, complice, afin de laisser la garde des enfants à la mère comme un dû naturel et impératif.

Dans le droit civil français, tout comme dans la convention internationale des droits de l'enfant, l'intérêt supérieur de l'enfant doit être une considération primordiale.

Or, pour nombreux magistrats, l'intérêt supérieur de l'enfant consiste à penser à l'enfant, que si celui-ci ne va pas à l'encontre de l'intérêt primordial de la mère.

Il est scandaleux de constater, que dans le cadre de procédures de divorce, l'objectif principal étant essentiellement d'ignorer le père des enfants, et de l'anéantir si celui-ci conteste.

Ainsi, lorsque vous êtes amené à déposer plainte auprès du parquet, dans le cadre de la procédure de divorce (allégations mensongères, dénonciations calomnieuses par exemple), vos plaintes sont régulièrement mises de côté, étouffées, si elles ne sont pas traitées avec laxisme et fumisterie.

C’est une des manières de procéder des magistrats du parquet, surtout lorsque vous mettez en cause des partenaires de la justice, amis du magistrat. La technique est simple, économique, et efficace…

Aussi,  certains magistrats n'hésitent pas à transgresser le droit, dénaturer les faits, déformer les propos tenus, sélectionner puis sortir les éléments de leur contexte.

Et cela, afin de satisfaire leurs besoins pour imposer leur volonté personnelle.

Ces magistrats savent abuser de leur pouvoir et agissent pour certains comme des monarques, incapable bien entendu d’une quelconque résipiscence.

Mais ils ont surtout oublié qu’ils étaient avant tout des fonctionnaires de justice, dont leur incombe le devoir de rendre des décisions de justice, impartiales, indépendantes, en respectant le droit.

Ce qui est terrible, c’est de constater qu’en réalité, personne ne contrôle ces fonctionnaires de justice au pouvoir absolu, et certainement pas le Conseil Supérieur de la magistrature, et encore moins la Cour de cassation.

Il est alors tellement facile pour certains, de rendre une décision de justice (au nom du peuple français), en se cachant comme un lâche, derrière son statut de fonction publique qu’il aura détourné.

Surtout lorsqu’on est convaincu, que celui-ci garantit une totale impunité et se suffit à lui-même pour se dégager de toutes responsabilités.

Cette responsabilité d’ailleurs, que la plupart des magistrats s’empressent autant que possible de transférer, céder à un tiers, qui peut être aux ordres.

Car chaque décision de justice peut avoir de lourdes conséquences, parfois dramatiques, pour un enfant, un parent…

Même s’il est vrai, que les magistrats, tout comme les avocats ou autres intervenants extérieurs sont très soucieux des enfants, mais uniquement quand il s’agit des leurs.

Pascal BEAUSSERON



1 commentaire:

  1. Bonjour Pascal,
    Je viens de lire votre blog - je suis moi-même dans un cas de mariage gris, sans enfant mais qui m’emmène vers la ruine complète a moyen terme. J'ai le sentiment comme vous que la justice ne fera jamais rien pour m'aider, toutes mes plaintes sont classées sans suite, et comme vous dites il n'y a aucune véritable autorité supérieure a tout ces potentats.
    Cependant vous pourriez peut être me conseiller ou nous pourrions peut être échanger des expériences pour essayer de progresser...
    Vous pouvez me contacter via ce mail: fabricej67@gmail.com - je vous enverrai un résumé de mon histoire.
    Parmi les solutions possible: j'essaye de voir avec Louise Horelou de Antenne 2, et je suis aussi en contact avec un Auteur. Ça marchera ou pas mais il faut porter ce qui nous arrive sur la place publique mais a un niveau autre que Internet: internet ne suffit pas pour atteindre les puissant, beaucoup de gens ne font pas la différence entre votre histoire et un site bidon (moi si car ce que vous décrivez me parle - et je reconnais votre souffrance et votre frustration face a la machine judiciaire pour la vivre.

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