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lundi 6 novembre 2017

DIVORCE : LA CAF, discriminer et sacrifier le père français pour privilégier la mère étrangère

La séparation du couple a eu lieu le 08 octobre 2012. La mère de nationalité étrangère est partie du domicile conjugal avec son fils, en catimini.
Le mois d'octobre est le mois de son renouvellement de titre de séjour pour rapprochement familial.
Suite à la séparation du couple, elle obtiendra en novembre 2012 de l'administration française, un titre de séjour en tant que parent étranger d'enfant français.

La mère produira à la CAF, un changement de situation frauduleux en date du 07 décembre 2012, afin de capter toutes les prestations familiales de l'enfant.

Dans son changement de situation frauduleux du 07 décembre 2012, elle indique que son fils réside avec elle et qu'il est a fortiori à sa charge.

Or, j'avais récupéré mon fils le 13 novembre 2012 suite à son départ avec l'enfant en catimini, afin que celui-ci réintègre le domicile conjugal. Mon fils résidait avec moi et à ma charge, lorsqu'elle a produit son changement de situation frauduleux du 07 décembre 2012 à la CAF.

La mère a également effectué son changement de situation, alors qu'aucune décision de justice dans le cadre de la procédure de divorce n'avait été rendue.

Le 11 Décembre 2012, la Juge aux affaires familiales (JAF) rendra une ordonnance de non-conciliation (ONC), afin de fixer surtout la résidence de l'enfant, qui restait avant cela, légalement le domicile conjugal que j'occupais.

J'ai donc effectué mon changement de situation le 14 décembre 2012 accompagné d'un justificatif, à savoir la décision de justice du 11 décembre 2012 (ONC qui fixait une garde alternée pour l'enfant).
Au-delà de mon changement de situation, la CAF m'avait fait remplir le 14 décembre 2012, 2 autres formulaires suite à cette décision de justice.

J'ai engagé une procédure judiciaire contre la CAF pour m'avoir retiré toutes les prestations familiales de l'enfant, afin de les reverser à la mère.

La CAF n'a effectué aucun contrôle, aucune vérification suite aux changements de situation des parents. Elle a tout simplement fermé les yeux sur le faux de la mère afin de la privilégier.
De plus la CAF n'avait pas le droit de me retirer les prestations familiales de l'enfant.

La justice solidaire et complice de sa collègue administrative (CAF), donnera gain de cause à celle-ci, en n'hésitant pas à transgresser les textes législatifs.



vendredi 27 octobre 2017

DIVORCE : La mère fait échouer à 4 reprises l'intervention chirurgicale nécessaire pour son fils

Deux médecins sont impliqués dans ce scandale.

Le médecin traitant de la mère : Dr VERMEL Valérie (médecin généraliste) et le Dr LAURENT-GRANDPRE Jean-Pierre (médecin spécialiste ORL).
Les défauts et privations de soins de la mère seront étouffés par les magistrats du Parquet (Eric TUFFERY, Valérie MASCARIN, Florence BREYSSE,...)

Toutes mes plaintes seront étouffées.

- Plaintes du 25 et 29 octobre 2013 contre le Dr VERMEL Valérie.
Je n'ai jamais été auditionné, les plaintes ont été étouffées.
- Plainte du 25 octobre 2013 contre le Dr LAURENT-GRANDPRE Jean Pierre (médecin ORL qui aura annulé l'intervention chirurgicale nécessaire pour mon fils sous prétexte de la procédure de divorce, sous l'influence et la volonté du Dr VERMEL Valérie).
J'ai été auditionné en avril 2015, et la plainte sera classée sans suite le 08 juillet 2015 au motif que :
« Les faits ou les circonstances des faits dont vous vous êtes plaint n’ont pu être clairement établis par l’enquête. Les preuves ne sont donc pas suffisantes pour que l’affaire soit jugée devant un tribunal. »
- Plainte du 25 octobre 2013 pour privation de soins contre la mère.
J'ai été auditionné le 09 juillet 2015 et je n'ai jamais eu de nouvelle.

Procédure devant le Conseil de l'Ordre des Médecins.

J'ai engagé une procédure devant le conseil de l'ordre des médecins contre le Dr VERMEL Valérie et le Dr LAURENT-GRANDPRE Jean-Pierre.

En première instance, la chambre disciplinaire de l'ordre des médecins d’Île-de-France a juste mis un avertissement au Dr VERMEL Valérie, pour son attestation du 23 avril 2013 en faveur de la mère afin de contrer le rapport de l'enquête sociale qui m'est favorable.


J'ai fait appel le 01 avril 2016 des décisions rendues en mars 2016 par la chambre disciplinaire de l'ordre des médecins d’Île-de-France.

Mais les magistrats du parquet ont tout fait pour m'empêcher de mener à bien cette procédure.
Il faut protéger ses amis médecins...
Ils m'empêcheront de me rendre à l'audience du 24 octobre 2017 à Paris, devant la Chambre Nationale Disciplinaire de l'Ordre des Médecins, dans le cadre de la procédure ordinale.

En seconde instance, la chambre disciplinaire nationale de l'ordre des médecins a rendue ses décisions le 24 novembre 2017, suite à mon appel du 01 avril 2016 (dont j'avais adressé copie au Procureur et au Préfet) des décisions rendues en mars 2016.

Je me devais de faire une vidéo pour revenir sur ce scandale et, suite aux décisions du 24 novembre 2017 rendues par la chambre disciplinaire nationale de l'ordre des médecins.



Le père condamné définitivement le 11 septembre 2014 pour soustraction d'enfant

Pour avoir pris mon fils avec moi le 6 juillet 2013, suite aux privations de soins de la mère (4 opérations programmées avortées). La police viendra le récupérer une heure plus tard à mon domicile.
je serais condamné par le tribunal correctionnel de Saint Denis le 19 novembre 2013 pour soustraction d'enfant à 3 mois de prison avec sursis, puis confirmé en appel par un arrêt rendu par défaut le 22 mai 2014 par la cour d'appel de Saint Denis.
Et donc après avoir fait opposition, je serai de nouveau jugé en appel par la cour d'appel de Saint Denis, et condamné définitivement le 11 septembre 2014, pour soustraction d'enfant à une amende de 1 000 euros avec sursis.
La cour d'appel de Saint Denis a surtout cherché à éviter la relaxe, face à la légitimité de mon acte, celui d'un père qui va au secours de son enfant, alors que celui-ci était privé de soins.
Bien entendu, mes plaintes du 25 octobre 2013 liées à cette affaire seront étouffées par les magistrats du parquet.

jeudi 26 octobre 2017

DIVORCE : Les magouilles du CMPP Henri WALLON

Le pédopsychiatre Fabrice SAMAIN et la psychologue Laurence RAVAZZA GOVIN ont utilisés mon fils dans un prétendu suivi, pour en réalité intervenir durant la procédure de divorce, afin de permettre uniquement à la mère d'obtenir la garde de mon fils.
Mon fils leur a été adressé en février 2013 par le psychologue Laurent Fontaine, soit durant la période d'enquête sociale.
Ce "suivi" m'a été caché.

Adresses professionnelles de ces intervenants extérieurs :

Le psychologue Laurent Fontaine : 14 ruelle Magnan 97490 Sainte Clotilde.
Le CMPP/APAJH Henri Wallon : 21 ruelle Magnan 97490 Sainte Clotilde.
Le médecin traitant de la mère Dr VERMEL Valérie : 14 ruelle Magnan 97490 Sainte Clotilde.

Durant la procédure d'appel de la garde alternée prononcée le 11 décembre 2012.

Ils rédigeront un signalement le 30 avril 2013 pour situation manifeste de danger concernant mon fils, alors que je bénéficiais d'un rapport d'enquête sociale favorable le 04 avril 2013.

Durant la procédure d'appel du jugement de divorce du 20 mars 2014.

Ils rédigeront un signalement le 30 septembre 2014, pour tenter de justifier le changement d'école (rentrée scolaire 2014/2015) de mon fils contre mon gré, à mon insu et par ruse.

Toutes mes plaintes seront étouffées.

- Plainte du 4 novembre 2013 contre le CMPP Henri Wallon.
Je n'ai jamais été auditionné et la plainte sera classée sans suite le 29 août 2014 au motif que.
 « Les faits dont vous vous êtes plaint ne sont pas punis par la loi.»
- Plainte du 17 décembre 2014 contre le CMPP Henri Wallon.
Je n'ai jamais été auditionné.



Le père condamné le 12 juillet 2016 pour outrage sur la psychologue.

J'ai été condamné le 12 juillet 2016 par le Tribunal Correctionnel de Saint Denis pour outrage sur la psychologue Laurence RAVAZZA GOVIN du CMPP Henri Wallon en date du 26 décembre 2014.
Il faut savoir que la psychologue Laurence RAVAZZA GOVIN est expert psychologue pour adultes, auprès de la cour d'appel de Saint Denis.


Alors entre amis, magouilleurs, on se soutient, se couvre, et on se rend service...

mercredi 25 octobre 2017

DIVORCE : mon petit garçon (- de 6 ans) me révèle que sa maman le frappe avec la ceinture...

Durant la procédure d'appel du jugement de divorce du 20 mars 2014 (Avril 2014 à Mai 2015), j'avais mon fils avec moi un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires.

Mon fils refusait systématiquement de retourner au domicile de sa maman.

Je ferai des vidéos pour garder trace de ces moments difficiles, au vu des allégations mensongères, dénonciations calomnieuses du  CMPP Henri Wallon entres autres.

Mais on a tout fait pour m'empêcher d'avoir la garde de mon fils...

Le 06 mai 2015, la cour d'appel de Saint Denis présidée par le juge inique et lâche Jean-Pierre SZYSZ, rendra un arrêt scandaleux qui m'infligera un droit de visite médiatisé pour voir mon fils, et permettra même à la mère d'exercer seule l'autorité parentale.

Ce fonctionnaire incompétent et/ou complice avait déjà été capable le 19 juin 2013, de rendre un arrêt issu de magouilles diverses (disparition inexpliquée de mes pièces...), lorsque j'avais fait appel de la garde alternée.

J'ai déposé plainte le 25 juillet 2017 pour violences et maltraitances contre la mère auprès du procureur de la République, dont une copie a également été adressée au Juge des Enfants.



Le père condamné le 27 mai 2016 pour violence sur enfant et menace de mort sur la mère.

Suite à une conversation avec mon fils du 09 avril 2016, rapportée par l'UDAF en charge des visites médiatisées, le Tribunal Correctionnel de Saint Denis m'a condamné le 27 mai 2016 pour violence sur mineur de - de 15 ans, et menace de mort sur la mère, à une contrainte pénale de 2 ans (obligation de soins et de suivi, avec interdiction de rentrer en contact avec la mère de mon fils).

Les magistrats du parquet étant à cette période, déterminés à me construire une image du père et mari violent, espérant ainsi se dédouaner de leur laxisme, fumisterie, et déni de justice face à mes différentes plaintes déposées en octobre et novembre 2013.

Cette contrainte pénale sera modifiée le 30 juin 2017.

J'aurai interdiction de paraître sur Saint Denis et sur la France.

Ainsi, cela permettra au parquet (Procureur) de m'empêcher de me rendre à l'audience du 24 octobre 2017, devant la Chambre Nationale Disciplinaire de l'Ordre des Médecins, dans les procédures que j'ai engagé à l'encontre des médecins Dr VERMEL Valérie et Dr LAURENT-GRANDPRE Jean-Pierre.